Comment éviter les questions pièges du code de la route ?
L’épreuve théorique générale (ETG) du permis de conduire est un passage obligatoire en vue d’accéder à l’épreuve pratique et d’obtenir le précieux sésame. Souvent redoutée par les candidats, elle comporte son lot de pièges, de questions aux apparences trompeuses et de détails cachés. Pas de panique ! En Voiture Simone décrypte pour vous tous les pièges du code de la route ! 😀
Que sont les questions pièges du code de la route ?
En Voiture Simone ne vous propose pas seulement un apprentissage du code de la route gratuit ! Déjouez tous les pièges de l’examen grâce nos précieux conseils qui permettent à chaque candidat de se sentir réellement prêt le jour de l’examen théorique ! 😉
Le déroulement de l’épreuve du code de la route est le même que vos révisions. L’ETG est un examen théorique comprenant 40 questions sous la forme d’un QCM qui plonge l’apprenti automobiliste dans des situations de conduite précises. Ces questions, réparties selon des thématiques et parfois illustrées par des photographies, des images ou des vidéos, laissent 20 secondes au candidat pour trouver la bonne réponse. Pendant ce court laps de temps, l’élève mobilise sa connaissance du code de la route, ses capacités de déduction ainsi que son sens de l’observation afin de saisir tous les enjeux de ladite question, car celle-ci pourrait s’avérer piégeuse. 🕵️
Une question piège du code de la route peut prendre de nombreuses formes :
- être formulée en deux parties ;
- proposer plusieurs bonnes réponses ;
- être formulée avec des verbes ou adverbes trompeurs ;
- cacher un indice dans son illustration ;
- ou encore aborder un thème méconnu (utilisation de l’avertisseur sonore, l’écoconduite, etc.).
Quels sont les types de questions pièges du code ?
Quatre questions pièges du code de la route sont particulièrement courantes : les questions à réponses multiples, les questions avec adverbes, les questions en deux parties ainsi que les questions mentionnant « je peux » ou « je dois ». Rassurez-vous toutefois, en connaissant les bases du code de la route et en suivant nos conseils, le candidat astucieux que vous êtes n’aura aucun mal à déjouer les pièges le jour de l’examen théorique.
Question piège à réponse multiple
Le QCM de l’épreuve théorique du code de la route implique parfois plusieurs bonnes réponses ! Il y aura obligatoirement au moins une réponse fausse parmi les propositions énoncées, lisez-les toutes attentivement et cochez toutes les réponses qui vous paraissent justes.
Question piège avec adverbe
L’énoncé d’une question pourrait vous induire en erreur. Prêtez une attention toute particulière aux adverbes tels qu’« obligatoirement », « exclusivement » ou encore « uniquement », ils vous permettent d’interpréter justement la question.
Question piège en deux parties
Certains énoncés se divisent en deux questions distinctes, on parle de « question double » ou « question en deux parties ». Prenez le temps de lire chacune des interrogations avant de cocher la ou les bonnes réponses.
Attention, les deux parties ne sont pas forcément liées ! Ne vous fiez pas seulement à votre première réponse pour choisir la deuxième et traitez les deux questions distinctement, en analysant chacune des deux situations.
Il n’existe pas de demi-point à l’examen du code de la route, une seule mauvaise réponse à l’une des deux questions vous ferait perdre un point complet.
Question piège avec les termes « je peux » ou « je dois »
Deux notions essentielles se distinguent dans l’épreuve code de la route :
- l’autorisation ;
- l’obligation.
Les comprendre est primordial, notamment pour ne pas tomber dans l’un des pièges les plus courants de l’épreuve théorique générale. Apprenez à faire la différence entre l’obligation de répondre à une action, une limitation ou interdiction, et la possibilité ou la recommandation.
En ce sens, repérez le verbe de l’énoncé, il est une clé de compréhension essentielle ! Si la question vous interroge sur ce qu’il est possible de faire, indiquez toutes les options autorisées par le code de la route. Au contraire, si celle-ci questionne ce que vous devez faire dans ce cas précis, cochez uniquement les options obligatoires.
Quelques autres exemples de pièges à éviter pendant l’examen théorique
Les indices cachés dans les vidéos ou photographies, le thème de l’écoconduite ou encore l’usage de l’avertisseur sonore… Comment déjouer la question piège qui pourrait tout changer ?
Le piège du détail dans le rétroviseur
Une photo ou une vidéo illustre la question qui vous est soumise : il est possible qu’un élément perturbateur s’y cache :
- un détail dans l’un des rétroviseurs ;
- un élément de signalisation au loin ;
- un usager au comportement dangereux ;
- un automobiliste sur le point de vous dépasser ;
- un clignotant ou un feu devant vous alerter ;
- un élément à risque sur la chaussée, etc.
Prenez soin de contrôler tous les plans de l’image et usez de vigilance : au volant, la prudence prime toujours.
Le piège de l’écoconduite
Un énoncé sur le thème de l’écoconduite n’est pas forcément une question piège. Cette nouvelle thématique du code de la route requiert simplement une bonne connaissance des enjeux en la matière.
Néanmoins, l’écoconduite implique parfois des comportements contre-intuitifs. Par exemple : si votre premier réflexe, en accord avec les principes de prudence et de précaution, est de ralentir ou d’arrêter le véhicule, gardez à l’esprit l’importance d’une conduite souple et d’une allure stable.
Évidemment, la sécurité prime toujours, mais un excès de prudence ou une précaution injustifiée en défaveur de l’écoconduite pourraient être sanctionnés !
Le piège de l’avertisseur sonore
L’utilisation du klaxon est l’un des nombreux pièges de l’examen théorique du permis de conduire, piège dans lequel certains usagers expérimentés tombent encore aujourd’hui… ne faites pas cette erreur ! L’usage de l’avertisseur sonore est strictement réglementé par le code de la route puisqu’il contribue grandement à la pollution sonore aux abords des routes : il est réservé à des situations d’urgence et de danger immédiat !
Si vous avez encore des doutes sur la signalisation que vous pouvez rencontrer à un carrefour, l’utilisation des feux du véhicules,sur les autres usagers, pas de panique ! Vous pouvez réviser en toute simplicité le lexique du code de la route pour être incollable le jour de l’examen théorique.
Se préparer aux questions pièges du code de la route avec l’application En Voiture Simone
Pas de secret, pour se préparer correctement à l’ETG et éviter les pièges du code de la route, entraînez-vous régulièrement et faites preuve d’assiduité. Choisir En Voiture Simone vous permet de structurer votre apprentissage tout en évoluant à votre rythme, selon vos disponibilités. Téléchargez une application 100 % gratuite, appli n°1 de son domaine, et accédez en quelques clics à tous les cours du code de la route ! Révisez où vous le souhaitez, avec ou sans connexion grâce au mode « hors ligne ». Réalisez des séries d’entraînement conformes à l’examen théorique et progressez en choisissant des séries thématiques ou articulées autour de vos difficultés grâce au mode « mes erreurs ». Mieux encore, réalisez des examens blancs afin de vous préparer dès aujourd’hui aux conditions de l’épreuve !
Que vous passiez l’examen théorique en candidat libre ou avec une auto-école, vous pouvez passer votre code de la route avec La Poste ou dans un autre centre d’examen. Cela vous permet de trouver facilement des sessions à proximité de votre domicile.
Comment repérer les questions pièges de l’épreuve du code ?
Trois choses : prenez votre temps, ouvrez l’œil et usez de bon sens ! Et oui, chaque candidat ne peut faire que 5 fautes lors de l’examen théorique.
Pour repérer une question piège et détecter une éventuelle anomalie, soyez particulièrement attentif : décortiquez l’énoncé ainsi que son éventuelle illustration afin de relever les éléments pertinents et les informations utiles par rapport aux situations décrites. « Y a-t-il un élément subtil que je n’ai pas détecté dans cette image ? Le sens de cette phrase est-il vraiment celui que j’ai interprété ? »
La question vous semble trop simple, évidente ? Voilà une raison plausible de penser que vous êtes passé à côté de quelque chose, et ce « quelque chose » peut avoir l’apparence d’un détail. Toutefois, ne vous compliquez pas la tâche, certaines questions de l’examen théorique vous paraîtront plus simples que d’autres et cela est parfaitement normal !
Certaines questions nécessitent une simple lecture tandis que d’autres impliquent l’observation d’une illustration. Mettez-vous dans la peau du conducteur et demandez-vous :
Contrairement aux idées reçues, le code de la route n’est pas plus facile le jour de l’examen théorique. Toutefois, si un candidat trouve que le QCM était simple, c’est peut-être parce qu’il avait bien révisé avec En Voiture Simone ! 😉